Les humains ne comprenait rien. Ils faisaient le mal autour d'eux et ne s'attendaient pas à des représailles venant de l'intérieur de leur terre. Mais sa allait changer, Kamui prendrait le pouvoir sur les hommes et changerai le monde. Tout d'abord il allait montrer au puissant de ce monde que lui, Kamui, ne rigolait et pour ça il y avait une ville qu'il fallait frappé en premier, car c'était un centre névralgique du monde des alchimistes. Central.
Kamui voulait commençer par ravager le Qg des millitaires, mais le problème était que ce coup serait trop puissant et qu'il voulait commençer par un coup facile, juste pour ce faire la main et semé la terreur.
Pourquoi pas l'hopital ?
Kamui était assis sur la terrase d'un café juste en face de l'hopital. Le batiment était vraiment très grand, il possédait plusieurs pôles avec des activité toute plus différentes les une que les autres.
Le pole Sud était la maternité, le nord était pole pédiatrie des adultes... Kamui commencerai par le nord ensuite il détruirait la maternité... ou peu être l'inverse.
Kamui se leva ayant fini son café puis paya. Il n'y eu aucun incident.
Le jeune homme au cheveux blanc était habillé en Costard-cravate et semblait complètement normal. Personne n'aurait pu dire que c'était un homonculus. A vrai dire c'était un peu ce qu'il espérait. Il traversa la route, s'approcha de la facade de L'hopital et sous les yeux des passant, il leva les mains et commença à faire peser toute sa concetration sur la facade. Son pouvoir,gravité, lui demandait un maitrise mentale complète, il augmenta la gravité tout autour de lui. Les passants tombèrent au sol les uns après les autres. Une goutte de transpiration coula sur la tampe du jeune homonculus et la facade craqua, se fissura et s'effondra à moitié. Kamui entendit des hurlements de peur, et dans la rues les voitures se rentraient dedans.
Il sourit et monta sur les gravas de la facade. Il détestait les humains, il les méprisait et surtout, il voulait leur mort... les hommes lui avait tellement fait de mal qu'il ne pourrait jamais oublié cette rancoeur. Maintenant ils allaient tous mourir.