Evite le plus de monde possible [libre]

Invité

C'était une glaciale journée d'hiver comme Uraishi les détestait. Elle avait beau avoir un pelage sous l'armure de plume, le vent glaciale lui ébouriffait le plumage et refroidissait le pelage blé que la chimère portait. Aperçevant la campagne, elle finit par se poser dans une clairière et remit de l'ordre dans ses plumes que son vol avait ébouriffé, avec l'aide du vent. Ses yeux d'aigle scrutèrent le noir environnant pour voire si personne ne se trouvait par ici. Se rendant compte, qu'elle était seule, elle s'allongea dans un coin de la clairière, à l'abri du froid et du vent par un rocher. Elle allait s'endormir quand le vent apporta à ses narines une odeur humaine. La chimère se redressa sur ses pattes et regarda autour d'elle: où pouvait bien se trouver cet humain?

Lyra marché depuis des heures, et des heures, elle semblait être perdu, non au final elle l'était. La jeune demoiselle était gelée, ses vêtements n’étaient pas très épais à vrai dire. Son sabre sur sont dos elle avancer, encore, et encore, sans s'arrêter une seule fois .Pourquoi d'ailleurs ne s'arrêtait t-elle pas? Pourquoi tenait t'elle à continuer à avancer toujours ? Elle avait peur, peur car elle ne savait pas où elle se trouvait, peur de ne plus jamais pouvoir retourner au domaine. La demoiselle finit pas s'écrouler de fatigue, elle était à bout de force, épuiser, et anéantie moralement. L'espoir dans ses yeux semblait s'envoler comme de la fumer, se volatiliser dans le vent glacial de cet endroit.
Lyra resta alors sur cette neige accroupit, ne fixant rien d'autre que le sol devant elle .Elle se laissait aller, elle n'en pouvait plus. Elle n'aimait pas se silence, se paysage blanc avec ce ciel gris, un paysage de désespoir.

(Je dois y aller donc désolé tu devra faire avec ce que j'ai écris...désolé...)

Invité

[Ok, c'est pas grave]

La chimère vit alors une jeune femme approcher. Elle ne semblait pas en pleine forme. Uraishi vit la jeune femme tituber et finir par s'effondrer par très loin de l'arbre et du rocher où se trouvait la chimère. Adieu tranquil sommeil, mais bon... C'était comme sa. Uraishi hésitait à aller voire comment se portait la jeune femme parce qu'elle voyait bien qu'elle portait un sabre dans le dos et la chimère ne voulait pas être l'objet d'une attaque. Elle attendit que la jeune humaine ne bouge plus avant de s'approcher d'elle. La neige crissait silencieusement sous ses pattes et elle finit par être proche de l'humaine.

*Ce qu'ils peuvent ne pas être résistant...*

Elle pencha doucement la tête vers la jeune femme et la poussa doucement du bec.

La demoiselle ne bougea pas, d’un centimètre quand celle-ci s'approcher d'elle. Elle ne l'avait même pas remarquer, Lyra était plutôt autre pars. Ne fixant que cette neige sur le sol qui se trouvait devant elle .Quand elle sentie qu'on la pousser d'une manière douce. Elle releva sa tête et posa son regard sur celle-ci, elle glissa une douce main sur le bec de la chimère, qui commença à faire des caresses. Lyra ne toucha pas à son sabre et ne s'attaqua pas à celle-ci. La jeune femme l’aurait juste attaqué si cette chimère s'en était prise à elle. Lyra n'étais pas effrayer, elle n'avait pas peur. Elle se mit à faire un petit sourire avant qu'il ne disparaisse, vite fait, avant de lui dire:

"Qu'est ce que tu fait ici?"

La jeune femme la fixa droit dans les yeux, ne quittant pas son regard. Elle n'arrêtait pas pour autant ses caresses. Lyra se leva par la suite,retira son sabre qu'elle jeta sur le sol,puis elle fit un tour autour de la chimère,c'était la première fois qu'elle en voyait une. Maeda était pâle, elle s'arrêta par la suite devant la chimère avant de lui dire:

"Ça fait longtemps que tu est ici?"

Après quelques minutes la jeune femme se laissa tomber morte d'épuisement et gelé par le froid. Oui, Lyra était fragile, mais c'était normal. Les humains n'étaient pas aussi résistants au froid.

Invité

Uraishi ne s'était pas attendu à ce que la jeune femme soit encore en vie. Ainsi, elle sursauta quand elle la vit se retourner et poser une main sur son bec. Depuis combien de temps n'avait elle pas vu d'humain d'aussi près? Au moins depuis ce jour tragique dans le village, où elle avait massacré ses enfants. Uraishi se laissa faire et eut un moment d'hésitation avant de répondre.

"J'évite les humains... Je n'ai aucune envie de finir clouer sur une porte..."

Uraishi fit soudain la jeune femme se relever et recula, méfiante, avant de voire qu'elle jetait son sabre. Elle suivit prudemment des yeux la jeune femme quand elle vit son petit tour pour l'observer. D'après ce que la chimère voyait, elle n'allait pas tarder à s'effondrer, d'après la pâleur de son visage.

"Suffisamment longtemps pour savoir que tu n'es pas en forme..."

Ce qui se confirma quand la jeune femme tomba soudain au sol, d'épuisement et de froid. La chimère s'allonga au coté de la jeune humaine et, pour la protéger du froid environnant, elle déploya une de ses ailes sur la jeune femme.

Lyra était surprise qu'elle parle, mais elle se mit à sourire. La jeune femme qui s'était effondrait, ouvrit les yeux qu'elle avait fermer et se mit à la regardait, d’un air triste. Puis elle lui demanda:

"Tu es seule? Tu évite les humains, je vois, ils sont pas tous gentils...je connais ça. Mais moi je ne suis pas comme eux, si tu t'en prend pas à moi, je n'est pas de raison à t'en prendre à toi."

Elle se mit à lui sourire avant de se mettre à tousser. La jeune femme semblait mal au point .Puis elle reprit la parole:

"Pourquoi les humains ton déjà fait du mal pour que tu disse ça?Ils t'on fait quelque chose?"

Lyra la regarda, d’un regard tendre,remplie de douceur, tout en ajoutant d'une voix douce:

"Je ne suis pas en forme...mais ce n'est pas grave,vraiment pas. En tout ca merci! "

Elle était gentille, même trop, elle était comme ça. Sauf quand on la fessait souffrir, ou qu'on lui fessait du mal physiquement comme son clan, ou sa famille. Elle ne leur pardonnerait jamais.
La jeune demoiselle se releva prit son sabre et tout en la fixant elle lui dit comme si tout allait bien avec le sourire avant de tousser encore une fois:

"Je ne vais pas te déranger plus longtemps...je trouve que tu en à déjà assez fait,alors que je ne te demandé rien."

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Uraishi ferma les yeux et baissa la tête. Les humains ne lui avaient que du mal depuis qu'elle était une chimère mais même quand elle était humaine. Elle revoyait ses parents partirent après l'avoir vendu à se laboratoire, ses humains faisant des expériences sur elle et le jour où elle était devenu une chimère. En y repensant sa vie était une succession de malheur.

"Les humains ont réussit à faire de ma vie un cauchemar. J'aurais mille fois préféré mourir le jour où ses rats de labo m'ont transformé en cette chimère..."

La chimère regarda la jeune humaine se relever et émit un rire. Elle ne survivrait pas si elle s'obstinait à continuer. Cette humaine lui rappelait un peu la jeune femme qu'elle avait été avant. Mais elles étaient très différentes, Uraishi était moins tétue qu'elle. La chimère se remit sur ses pattes.

"Tu ne tiendras pas longtemps seule ici..."

Lyra se mit à sourire et lui dit:

"Comment peut tu le savoir? Personne ne peut vraiment savoir si je tiendrait ou pas, encore moins moi même."

La jeune femme s'approcha de la chimère et l'entoura de ses bras autour de son cou, elle lui fessait un câlin, tout en dissent:

"Malgré que ta énormément souffert ne pense pas que tout les humains sont aussi horrible, garde à l'esprit qu'il à aussi des personnes qui sont gentilles. Et que ta vie si tu le veux peux passé d'un cauchemar à un rêve merveilleux."

Lyra savait bien de quoi elle parlait. Après avoir subit sa famille et sont clan comme si elle n'était rien pour eux et qu'un objet sans importance. Elle avait trouvé l'amour par la suite, une vie sans souffrance jusque ici.

La jeune femme était toujours aussi pâle. La fatigue en était aussi s'en doute pour quelque chose.

Invité

La chimère hocha la tête. Elle eut un grognement qui pouvait être apparenté à un rire.

"Peut être mais il suffit de te regarder pour le savoir."

Puis elle sentit la jeune femme la prendre dans ses bras. Cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Elle s'était bien rapproché des cobayes comme elle dans le labo, mais cela n'avait rien à voir avec ce qui se passait maintenant. La chimère posa une de ses pattes d'aigle sur le dos de la jeune femme.

"Pour l'instant, tu es la seule humaine qui ait été gentille avec moi... Mais je veux bien te croire..."

Elle eut soudain une idée. Attrapant la jeune femme gentillement par son haut, elle la mit sur son dos et décolla.

"Je t'emmène où tu veux, cela te permettras de te reposer."

La jeune femme fut surprise, elle se mit à dire inquiète:

"Mais...mais...qu'est-ce que tu fait? Repose moi s'il te plais...repose moi..."

Quand elle se mit à décoller, elle ferma ses yeux, elle avait peur, peur s'en doute du vide...ou peur de ne pas savoir ce qu'il l'attendait, c’était la première fois qu'elle était dans le ciel. Puis elle lui répondit:

"Mais je t'assure je vais bien...je suis en pleine forme ...j'ai pas besoin de me reposé."

Après quelques minutes elle ouvrit les yeux, regardant les nuages, et le paysage blanc qui se dessiner plus en bas. Puis d'une voix douce elle lui dit:

"Mais...c'est magnifique..."

Elle n'en croyait pas ses yeux elle se mit à sourire. Puis la jeune femme rajouta:

"Tu aime voler dans le ciel?"

Invité

La chimère laissa l'air lui ébouriffé les plumes et se rappela que c'était la même sensation que lorsque son père la faisait tournoyé dans les airs et que le vent faisait volé ses cheveux. Uraishi sourit et tourna les yeux vers sa cavalière.

"Depuis que je suis une chimère, j'adore voler. J'adore regarder les paysages défilé sous moi et parfois faire du rase motte à fleur d'un lac. C'est une sensation grisante qui peut vite nous accaparer et nous faire oublier qu'on se fatigue vite."

C'était déjà arrivé à la chimère. Elle avait pensé pouvoir voler longtemps mais, après une à deux heures de vol, ses ailes l'avaient trahi et elle c'était retrouvé dans un lac. C'était un mauvais souvenir qu'Uraishi ne voulait pas revivre.

"Et toi, comment tu trouves le paysage?"

La jeune femme admirer le paysage tout en écoutant la chimére avant de lui répondre d'une voix douce:

"Je trouve ce paysage ravisant ,jolie,magnifique...j'adore."

Elle se mit à sourire,Lyra avait froid,à cause du vent froid qui venait de se levétout doucement. La jeune demoisselle se mit regardait la chimére sans ajouter un seule mot,laissant place alors un un doux silence,elle aimer bien être dans le ciel au final,en étant avec la chimére alors qu'elle peur,elle s'amusser aussi beaucoup. Le ciel se dégager un peu pour laissait place à un soleil ardent et brillant de mille feu.

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